Resurgence.faut-il
FAUT- IL
Faut-il que mes mains, qui de nos corps s'empreignent
Mes yeux fermés rêvant d'un fleuve, la scène
Acte premier s'enflamment de ferveur
Au bord des rives ,dérivent nos deux coeurs
Faut -il tant que je t'aime ,o temps
Que les orages changent,la pluie
gouttes chantantes dans la vie
M'innocente ,et le doute m'attends
Faut-il que mon rêve ,ton amour s'entend
brûlante de ma fièvre je me rends
Au coeur de solitude,sur la berge
les flots vivants fort émergent
Faut-il que les vagues voilées des soirs
De l'une a l'autre allant sans soucis
sans regard laissant , pleurs, l'espoir
de notre amour , seul survit
Faut-il que de nos mains,enfin nos corps se rendent
A la grâce du ciel, a l'eau bleuté de l'onde
ALBEROZ